vendredi 30 mars 2012

Avant propos

***MISE A JOUR /  3 AVRIL 2012***

LA VÉRITÉ ENFIN DÉVOILÉ :


Parceque nous voulons la vérité sur cette affaire et connaitre le(s) véritable(s) responsable(s) de la tuerie de Toulouse.  

 




NOUS DÉDIONS CE BLOG A MOHAMED MERAH AINSI QU'A SA FAMILLE, ET A TOUTE LES FAMILLES QUI ONT PERDU UN PROCHE.

  "Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées», énonce l’article 11 de la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948."




 




















Stop l'Islamophobie d'Etat ! Nous en sommes TOUS victimes

L'islamophobie en hausse est le produit d'une campagne éhontée menée par le Gouvernement français (en liaison avec ses amis sionistes extrémistes racistes) prêt à tout pour garder le pouvoir et poursuivre sa politique de transfert des richesses des classes moyennes aux plus nantis. 

On nous ment. Il n'y a pas de terrorisme islamique en France. Tout cela est fabriqué, Réveillez vous.

 
- Parce que si nous croyons tous les mensonges des Médias aux ordres, nous risquons de faire le lit de Nicolas Sarkozy à nouveau, ou d'autres car ce sont tous les mêmes, et une fois réélu, il poursuivra la casse de la France, il nous entraînera dans la guerre mondiale nucléaire via l'attaque de l'Iran, et il mettra en place le Nouvel Ordre Mondial totalitaire, esclavagiste, eugénique.



Pierre Hillard, docteur en science politique et essayiste français, parle de l'islam, et a très bien compris cette manipulation des gouvernements :



 - Parce que nous sommes dupés. Les Musulmans, de par leur religion justement, sont très respectueux des autres, de la famille, de l'ordre, ils ne font pas parler d'eux. Il y aurait 2000 membres d'Al Quaïda dans le monde, organisation d'ailleurs créée par la CIA pour jouer sur les peurs et comme prétexte afin de mettre en place lois liberticides et guerres (contre les pays non-alignés et dotés d'un sous-sol très riche, donc à piller !). Au lieu de craindre les Musulmans, nous devrions au contraire nous inspirer de leurs préceptes en matière de finance, éthique, elle, car bannissant l'usure, les taux usuriers et donc l'endettement source de la plupart des problèmes d'aujourd'hui. Et le Coran proscrit la violence contre les religions, et plus généralement toutes les violences au nom d'Allah. 

jeudi 29 mars 2012

Les mensonges et les crimes du NOM

AUCUNE PREUVE TANGIBLE NE RELIE MOHAMED MERAH AUX MEURTRES DE TOULOUSE ET MONTAUBAN

 

Tout ce que nous savons, c’est qu’il y a des victimes et un ou des tueurs. Mais nous ne connaissons pas l’identité du (des) tueur(s). RIEN NE PROUVE qu’un de ces tueurs est Mohamed Merah, le jeune homme souriant, plein de fraîcheur et beau garçon, qui nous a été montré avec son véhicule.

Mohamed Merah est le lapin blanc sorti du chapeau des sorciers sionistes pour garantir la réussite d’une opération criminelle préméditée aussi sordide que dramatique, et visiblement montée de toutes pièces par les plus hautes autorités de l’Etat dans le but de favoriser un candidat que les sondages donnaient pour perdu à l’élection présidentielle, Nicolas Sarkozy, afin qu’il poursuive sans relâche son travail de casse générale de la nation France et d’impérialisme guerrier dans tout l’Orient.

Alain Soral avait donc vu juste, explication dans la vidéo suivante :


MOHAMED MERAH : La Manipulation Médiatique 



NE L’OUBLIONS PAS : MOHAMED MERAH EST INNOCENT jusqu’à ce que sa culpabilité soit prouvée.

Beaucoup de questions se posent :
  1. Aucun médecin légiste n’était sur place, comme le veut la procédure légale en cas de meurtre, pour constater les décès ; au lieu de quoi le ministre de l’Intérieur et le grand rabbin de France étaient sur les lieux... ;
  2. Aucune autopsie n’a été pratiquée sur les "victimes" qui ont aussitôt été expédiées en Israël comme le veut le rituel juif mais contrairement à la loi d’un Etat laïque !!!... ;
  3. Y a t-il effectivement eu des victimes dans cette école (on est en droit d’en douter) ?
  4. Pourquoi le suspect nommé Mohamed Merah dont le portrait à circulé partout et dont l’ADN n’a pas été retrouvé sur les lieux du crime n’a t-il pas bénéficié de la présomption d’innoncence si chère à la classe politique quand il s’agit de la bite baladeuse de Strauss-Khan ou à celle de Polanski ?
  5. Pourquoi l’école juive a t-elle été envahie d’une horde de journalistes et d’officiels étrangers à l’enquête alors qu’elle était supposément "une scène du crime" ???
  6. Pourquoi l’avocat des Merah (ils ont été arrêtés donc normalement ils doivent avoir au moins un avocat commis d’office) n’a t-il pas été entendu à ce jour ??
  7. Pourquoi une telle intrusion de la part des politiques dans une enquête policière pendant cette période électorale ?
Et bien d’autres questions qui méritent d’être posées et qu’on y réponde...

Les autorités françaises nous ont tissé une belle "histoire" au sujet de Mohamed Merah (séjours en Afghanistan, Pakistan, Israël, islamisme radical, terrorisme, double personnalité "Jeckyll & Hide", petite frappe de banlieue, etc.) pour servir leur cause. Je ne crois même pas que Mohadmed Merah ait été un indic de la DCRI. En effet, qui me prouve qu’il était en contact avec eux ? Merah nous l’a dit ? Non : on lui a fermé le clapet en lui logeant une balle dans le crâne pour s’assurer qu’il ne pipera mot.

Ces mêmes autorités qui aujourd’hui nous sortent une "biographie ultra-terroriste" de Merah sont ces mêmes autorités qui nous disent que l’Union Européenne veut notre bien et va régler tous nous problèmes et nous amener la prospérité, la démocratie et la paix, alors que la réalité que nous observons c’est que plus d’Union Européenne cause plus d’inégalités sociales, de misère, de totalitarisme et de guerre. 

Vous tenez toujours à enfiler leurs perles en leur servant de relais ?

Merah est un petit jeune de banlieue que l’on a choisi pour porter le chapeau dans le but de servir la doule idéologie du "choc des civilisations" et de la "non intégration congénitale" des non européens, particulièrement ceux d’Afrique (noire et maghrébine) en Europe. Et on l’a choisi agréable et mignon comme un coeur pour faire encore plus peur à la population "locale" (entendez "de souche"), histoire de faire rentrer le message : "vous voyez, méfiez-vous de ces gens-, même quand ils ont une bonne bouille, ce sont des méchants, des loups en costume d’agneaux, qui veulent votre peau." 

Souvenez-vous d’une autre histoire, celle de Youssouf Fofana. Un "gang des barbares" dont on nous dit que Fofana se réclamait. Personnellement, je n’ai jamais entendu Fofana se réclamer de quoi que ce soit : il n’a jamais eu droit à la parole ! Souvenez-vous également que Fofana a été le seul dont le portrait a été diffusé à longueur d’antenne pendant des mois pour bien faire passer le message que noir et musulman n’est pas la bonne combinaison pour la France ! Les autres (entre 14 et 18 membres de ce "gang"), on ne les a jamais vus...

Qui étaient-ils ? Des agents au service de l’Empire ? Sûrement...

C’est Youssouf Fofana qui a porté le chapeau à cause de l’énorme pression que le lobby juif a fait peser sur la justice pour imposer un procès à huis clos. Pourquoi un huis clos dans une affaire de meurtre ordinaire ? Parce que le gouvernement de l’ombre, le lobby juif, tenait à ce que vous n’entendiez JAMAIS les véritables propos de Fofana, sa défense, ses arguments. Même les journalistes n’étaient pas autorisés à assister à ce procès... Pendant toute la durée du procès, ce sont les agents du lobby juif qui ont distillé les "informations" aux médias alignés et qui ont "parlé pour Fofana" : Fofana a dit ceci, Fofana a dit cela, Fofana a fait ceci, Fofana a fait cela. Qu’en savez-vous ?? Êtes-vous prêts à les croire ? Qui a vraiment tué Ilan Halimi ? Un agent du Mossad opérant sur le sol français pour servir la cause du lobby qui ne recule devant rien et tient à maintenir l’idée géniale de l’antisémitisme qui donne tous les droits à la communauté organisée et permet tout à Israël ? Tous les "attentats" de ces dernières années ont été autoperpétrés par des juifs eux-mêmes (des agents en mission ?) pour faire accuser les noirs et les arabes. 

Souvenez-vous également de Zacharias Moussaoui, arrêté et extradé aux USA (et régulièrement torturé à Guantanamo, s’il n’est pas déjà mort...), alors que nos politiques n’arrêtent pas de nous rasséréner quant au fait que la France n’extrade pas ses ressortissants. Ils ont tout simplement oublié de préciser qu’il y a une exception particulière pour les noirs et les arabes... L’extradition de Zacharias avait pour but d’enfoncer le clou dans les esprits et faire croire à un attentat terroriste par les "méchants bougnoules haineux et sanguinaires" sur le sol américain alors que nous savons que ce n’est pas le cas, et que les "barbus" n’ont rien à y voir. Au début de son incarcération/procès, la mère de Zacharias a déclaré aux médias (c’est la seule fois, d’ailleurs, qu’on l’a entendue) qu’elle ne reconnaissait pas son fils, qu’il avait l’air avoir été drogué, qu’elle ne reconnaîssait pas les propos incohérents qu’il tenait et que cela ne lui ressemblait pas... 

Hier : Moussaoui, Fofana et Merah... Demain : vous et moi ????
En conclusion, tout ce qui a été dit de Mohamed Merah dans l’affaire de Toulouse-Montauban (avec force contradiction de toutes parts, on le note) n’avait qu’un but : que le peuple français croit en sa culpabilité sans qu’aucune preuve ne soit apportée pour l’étayer. Et ça marche, car où que vous alliez sur internet (je ne parle même pas des médias alignés pour lesquels la culpabilité non prouvée de Merah est un fait établi), vous lirez ici et là "le terroriste Mohamed Merah", "le tueur de Toulouse Merah", "le meurtrier Merah", "le criminel Mérah", "l’agent de la DCRI Merah", etc.

Le Mahatma Gandhi a dit : "Une erreur même répétée cinquante mille fois ne devient pas une vérité parce que tout le monde y croit". C’est pareil pour un mensonge, le répéter ad vitam aeternam n’en fera jamais une vérité. En tout cas pas pour moi. Et pour vous ?

Les autorités qui ont piégé ce jeune homme, probablement sans histoires (et qui pour moi est innocent de TOUT jusqu’à preuve irréfragable du contraire, et est donc une VICTIME du système criminel dans lequel nous vivons) ont le pouvoir de créer des preuves : elles ont tenté de le faire à tour de bras mais n’ont pas cessé de se contredire en direct à tous les échelons, ce qui leur a enlever toute crédibilité. Heureusement pour Mohamed Merah. 

Ne soyons pas les "idiots utiles" des sionistes du NOM en relayant leur prêts-à-penser. Ce n’est pas parce qu’ils le disent que c’est vrai... Restons vigilants et critiques de tout ce qu’ils nous content, autrement nous finirons par nous endormir.


Pour prendre un peu de recul...

Après l’effondrement des trois forces morales d’Occident qu’étaient le catholicisme, le communisme et l’universalisme français, d’essence helléno-chrétienne, il apparaît que la dernière civilisation de la sphère post-méditerranéenne à ne s’être pas encore totalement soumise à l’Empire capitaliste américano-sioniste judéo-protestant est le monde musulman. Sans entrer dans un débat théologique pour lequel nous n’avons ni compétence ni légitimité, encore devons-nous distinguer dans cet islam complexe et compliqué, n’ayant ni clergé pour dire le dogme, ni Califat depuis 1924 et la chute de l’Empire Turc pour imposer une politique, deux grandes tendances du point de vue des intérêts français et européens.

Islam de résistance : Révolution islamique d’Iran, Hezbollah, Hamas…

Un islam de résistance à l’Empire cohérent, articulé autour de la République islamique d’Iran, comprenant aussi le Hezbollah libanais et le Hamas palestinien. Islam de résistance parfaitement exprimé par les discours et les actes du Président Mahmoud Ahmadinejad : solidarité avec la révolution bolivarienne du Président du Venezuela Hugo Chavez, accords de coopération avec le régime syrien baasiste, soutien logistique aux combattants palestiniens sunnites, contestation de la version officielle des attentats du 11 septembre à la Tribune de l’ONU…

 Une politique authentiquement anti-impérialiste et antisioniste qui refuse de tomber dans le piège du « conflit de civilisations »…

Islam de collaboration et de provocation : Arabie Saoudite, QATAR, Al quaida… 

A l’opposé, un islam présenté comme radicalement antioccidental, mais jouant pleinement le jeu du « conflit de civilisations » dans un partenariat pervers avec l’Amérique et Israël. La monarchie saoudienne, qui le promeut et le finance un peu partout dans le monde, étant en réalité totalement dépendante et complice des États Unis par les accords de Quincy ; accords signés en 1945 entre Ibn Séoud et Franklin D. Roosevelt, garantissant au régime wahhabite la protection militaire américaine en échange du monopole sur ses concessions pétrolières. Un partenariat militaire et économique encore renforcé depuis 1973 par la mise en place du pétrodollar.

Une relation trouble entre islam radical et Empire, à l’origine de la création d’Al Qaida d’Oussama Ben Laden, et d’une façon générale de cet « extrémisme islamique » dont le rôle objectif est de pousser à la confrontation les populations musulmanes et chrétiennes d’Europe - que ce soit par la sécession du Kosovo voulue par l’Otan ou le prosélytisme du voile intégral sur le sol français - et ce pour le plus grand profit de l’Empire américano-sioniste…

La France face à l’empire

Dans ce contexte de brutalité impériale, faite de prédation économique et de manipulations ethnico-religieuses, la France se trouve en première ligne, tant sur le plan économique que confessionnel : En première ligne du fait de la volonté de mise au pas du modèle social français par le néo-libéralisme anglo-saxon. En première ligne du fait de la présence des plus grandes communautés musulmanes et juives d’Europe dans notre République.

De l’antiracisme à l’anti-islamisme ou le grand retournement (15 mars 2004) 

Un communautarisme et une racialisation des rapports sociaux qui s’accompagne en sus, dans toute l’Europe, du grand retournement de l’antiracisme institutionnel en anti-islamisme.
Un retournement d’alliance, au nom de la laïcité, opéré sous la pression des réseaux maçonniques et sionistes, et sanctionné en France par la loi anti-foulard du 15 mars 2004, aggravée depuis par la loi anti-burqa du 14 septembre 2010.

Une stigmatisation orchestrée des musulmans, désormais désignés comme boucs émissaires au peuple de souche touché par la crise par ceux-là même qui les ont fait venir et poussé à l’agressivité anti-française, afin que la colère sociale légitime envers les élites mondialistes, fort peu musulmanes, se transforme en guerre civile interethnique.

L’avenir de l’islam en France

Quant à savoir si l’islam est un bien ou un mal pour la France, rappelons que pour cette religion sans clergé, il n’existe pas qu’un islam pilotant une horde compacte et disciplinée de musulmans du haut d’un quelconque Califat, mais une diversité de musulmans livrés à des pouvoirs divers, dont la plupart se tiennent loin de l’agitation comme de la politique.

D’abord les anciens, issus du travail immigré d’avant le regroupement familial, qui pratiquent un islam culturel et discret : vieux travailleurs prolétaires, au mieux petits commerçants encadrés à la fois par le pays d’origine : Algérie, Maroc, Tunisie… et l’État français : ministère de l’Intérieur, relais socialistes, CRIF… en apparence indépendants les uns des autres mais depuis des lustres la main dans la main ! 

Une vieille génération de musulmans élevés dans la soumission et la crainte du pouvoir, que ce soit celui de l’ancienne France coloniale ou des dictatures “décolonisatrices” toutes aussi reluisantes qui lui ont succédé.
Aussi, prétendre que ces petites gens, présents sur notre territoire depuis quarante ans et plus, posent des problèmes de délinquance est parfaitement malhonnête.



Les jeunes ensuite, nés eux sur le territoire, Français, n’ayant connu en fait que la France, et réagissant en Occidentaux nourris aux “droits de l’homme” aux provocations anti-islamistes ; provocations qui sont devenues monnaie courante depuis le retournement d’alliance de la loi anti-foulard de 2004. Une nouvelle génération de musulmans qui ne suit plus l’ancienne, c’est-à-dire ni l’imam du Bled ni celui du ministère de l’Intérieur ou du CRIF - c’est d’ailleurs le même - et qui, pour compliquer les choses, se divise en deux camps de plus en plus opposés.

Musulmans patriotes contre Islamoracailles

D’un côté : cette nouvelle génération de Français musulmans intégrés, diplômés et entrepreneurs, cherchant dans la théologie islamique les raisons de sortir de la catastrophique posture victimaire – imposée par SOS Racisme – afin de pouvoir enfin aimer pleinement et sincèrement leur pays : cette France dans laquelle ils savent, pour avoir les moyens de comparer avec le pays d’origine dans lequel ils n’ont aucune envie de retourner, si ce n’est en vacances, qu’être né est une chance.



De l’autre et à l’opposé : cette nouvelle génération de paumés, issus des ghettos de la relégation et d’un déclassement chaque jour aggravé par la crise mondiale, porteurs d’une idéologie délinquante américaine libérale prolongeant désormais, dans un salafisme bricolé et superficiel, leur haine revancharde d’une France coloniale qui ne l’a jamais été de leur vivant ; une haine confuse et épaisse, issue en droite ligne du rap anti-gaulois fort peu islamique, mais étrangement promu depuis vingt ans comme “culture jeune” par les médias dominants.

Les premiers, élevés dans un patriarcat ayant échappé à la féminisation 68, à la fois issus de la gauche du travail (études menées à bien malgré le handicap social), mais pratiquant la droite des valeurs (retour à la tradition contre les sirènes du matérialisme moderniste) sont incontestablement une chance pour la France, si on entend par là l’espoir de son redressement.



Les seconds, voyous apatrides, désormais utra-violents, cultivant la haine du Blanc, et qui sont effectivement ce que tous les observateurs lucides en disent, que ce soient les démographes intègres, la police débordée, le petit peuple toutes ethnies confondues et même les “identitaires” qui sont, côté gaulois, leur exact pendant : ces Islamoracailles à mettre rapidement hors d’état de nuire avec, pourquoi pas, déchéance d’une nationalité française qu’ils haïssent et billet gratuit vers ces paradis islamiques qu’ils idéalisent : Kosovo, Tchétchénie, Arabie saoudite… Ce qui serait sans doute la plus cruelle, mais la plus salutaire sanction à leur infliger !

Pour une réconciliation nationale : Aoun et Nasrallah plutôt que Milosevic et le Kosovo

De l’issue de ce combat entre ces deux jeunesses : musulmane patriote et islamoracaille, désormais face à face et opposées en tout – y compris en islam – dépend en fait, outre la crise économique, le chaos de la guerre civile ou le redressement par la réconciliation nationale.



Et dans ce combat pour la France, nous devons apporter tout notre soutien aux premiers : ces patriotes musulmans qui travaillent, entreprennent et ramènent des médailles pour le drapeau dans les compétitions sportives… Comme nous devons rompre désormais avec toute dialectique de l’excuse, être intransigeants avec les seconds qui se comportent eux, n’en déplaise à la confuse et manipulée Houria Bouteldja, comme une horde de souschiens.

Un combat qui ne se joue donc pas entre Français et musulmans, comme voudraient nous le faire croire les agents de l’Empire, mais entre fils de France aimant vraiment la France et ennemis de la France, toutes couleurs et toutes religions confondues.

Le salut du pays étant plutôt à aller chercher du côté de la réconciliation nationale entreprise au Liban par le Général Aoun, président du Courant patriotique libre chrétien maronite, et Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah musulman, que du côté de la Yougoslavie, où l’entreprise de reconquista menée par un Slobodan Milosévic entièrement noyauté par la CIA, a conduit à la partition du Kosovo voulue par l’OTAN…

Extraits de Comprendre l’Empire, février 2011

jeudi 22 mars 2012

Merah ou la manipulation de l'Etat digne du 11 Septembre...

Alors même que ces lignes sont écrites, la grande majorité des médias ont suspendu leur programmation habituelle et retransmettent en direct l'intervention des forces spéciales au domicile du présumé auteur des assassinats perpétrés à Toulouse et Montauban au cours des derniers jours. Les interventions de Nicolas Sarkozy sont suivies à la trace et les déclarations émanant des autorités sont reprises en boucle. Mais avant de commenter plus exhaustivement cette affaire, revenons un peu en arrière et penchons-nous sur son contexte.

Cui Bono ?

Comme souligné avec une grande justesse par Franklin Delano Roosevelt :
« En politique, rien n'arrive par hasard. Chaque fois qu'un événement survient, on peut être certain qu'il avait été prévu pour se dérouler ainsi. »
Aucun événement politique n'étant le fruit du hasard, la première question à se poser est donc : « Cui Bono ? » c'est-à-dire : « À qui profite le crime ? »

Situation préélectorale



C'est un euphémisme que d'affirmer que la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy était jusqu'à présent mal engagée.

Quelques mois seulement après le début de son mandat, la côte de popularité de Sarkozy a commencé à plonger ; elle s'est stabilisée fin 2007 et depuis, reste à un niveau particulièrement faible. Quels que soient les instituts de sondages concernés, approximativement deux tiers des sondés expriment une opinion négative quant au président sortant.



© CSA

Parallèlement, les concurrents de Sarkozy en général, et Hollande en particulier, cumulent des côtes de popularité flatteuses. Ainsi, entre mai 2011 et mars 2012, la popularité de François Hollande a fluctué entre 42 et 56 %.


© Delitsdopinion.com

De fin 2010 à début 2012, les sondages pronostiquaient un deuxième tour Hollande-Sarkozy, et les intentions de vote donnaient une avance confortable à Hollande, comprise entre 10 et 20 points sur la période. Ainsi, selon les derniers sondages effectués en février 2012, Hollande se voyait crédité de 56 voire 57 % des voix contre 43 à 44 % pour Sarkozy.


© Le Figaro

On notera que malgré ces écarts marqués, un des rares domaines où Sarkozy surnageait était celui de la lutte contre l'insécurité, où il était crédible aux yeux de 41 % des Français contre 19 % seulement crédités à Hollande.

À ce stade, la victoire de Sarkozy semblait donc relever de l'impossible, à moins d'un miracle ou du moins d'un événement savamment orchestré...

Le « terrorisme islamique » frappe encore

Un mois et demi avant le premier tour des présidentielles réapparaît donc l'hydre du terrorisme islamique. Une première attaque survient à Toulouse le 11 mars, au cours duquel un militaire français musulman perd la vie. Une deuxième attaque à Montauban le 15 mars fait trois victimes supplémentaires (deux militaires musulmans et un militaire antillais). Finalement une troisième attaque frappe Toulouse le 19 mars et fait 4 victimes juives.

Deux jours plus tard, le 21 mars, le RAID encercle le bâtiment résidentiel où vit le « terroriste » et très rapidement, deux « preuves » cruciales sont obtenues :
- Le frère du suspect détiendrait de la poudre explosive utilisée au cours de la série d'attentats de 95 (à l'époque, Merah devait avoir 7 ans)
- Le suspect aurait jeté par la fenêtre un Colt 45, l'une des armes utilisées au cours des assassinats susmentionnés.

À l'instar des passeports miraculeusement retrouvés intacts au sommet des décombres du WTC et des Corans découverts dans des véhicules de location, le public se voit offrir deux preuves qui établissent que ces actes abominables sont le fruit du terrorisme islamique et que l'individu ciblé est bien l'auteur des assassinats qui ont ravagé le Sud-Ouest.

L'instrumentalisation

Le lundi 19 mars, Nicolas Sarkozy se rend personnellement à Toulouse, intervient publiquement et, les yeux rivés à la caméra, invective l'assassin et promet de le trouver et de lui faire rendre des comptes. Il se pose en sauveur providentiel des Français face à l'odieuse menace.

Sous les feux de tous les projecteurs, Sarkozy se lance dans une croisade personnelle contre le mal incarné : le vil terroriste islamique.

Moins de 48 heures après l'intervention télévisuelle de Sarkozy, l'assassin est identifié, sa résidence littéralement assiégée et les membres de sa famille placés en garde à vue.

Sarkozy occupe l'intégralité de la scène médiatique : rencontre des représentants des différents cultes, allocution publique à Toulouse, intervention à Montauban, rencontre des policiers blessés à Toulouse, cérémonie donnée en mémoire des militaires de Montauban, présence dans le quartier de la Côte Pavée avant l'assaut du RAID, rencontre des familles de victimes.

Le maître mot repris ad libitum dans les discours de Sarkozy est « Unité ». Unité au sein de la population, unité entre les religions, unité nationale...

Comment Sarkozy, qui n'a cessé de détruire la cohésion sociale et la solidarité (stigmatisation des chômeurs, immigrés, Roms, musulmans, fonctionnaires, grévistes, RMIstes...) peut-il légitimement invoquer une unité qu'il n'a cessé d'affaiblir ?

En fait, l'unité à laquelle Sarkozy fait allusion est celle qu'il souhaite cristalliser autour de sa candidature, car seule une nation unie autour de son leader est en mesure de faire face à l'adversité.

Sarkozy joue ici sur plusieurs tableaux :

- Il devient le sauveur qui a permis de neutraliser l'assassin.
- Étant donné les « liens » de ce dernier avec les mouvances islamiques, la menace demeure, et Sarkozy, fort de son résultat, se pose en protecteur ultime de la nation contre les menaces terroristes à venir.
- L'intervention militaire décidée en Afghanistan par Sarkozy, soi-disant pour traquer Oussama Ben Laden et neutraliser le terrorisme, devient moins discutable.
- La question de la sécurité revient au premier plan et, comme mentionné précédemment, c'est un des rares domaines où Sarkozy est plus crédible que Hollande aux yeux d'une majorité de Français.

En effet, le « hasard des événements » n'aurait pu être plus favorable à la candidature jusqu'alors désespérée de Sarkozy.

Hystérisation par hypermédiatisation

Vous noterez l'hypermédiatisation de l'événement alors que chaque jour, depuis des années, en Afghanistan ou en Palestine, des innocents meurent, tués de façon gratuite, dans un silence assourdissant.

Depuis quelques jours, la grande majorité des médias ont suspendu leur programmation habituelle et retransmettent en direct l'évolution de cette affaire nationale. Aujourd'hui même, l'intervention des forces spéciales au domicile du présumé auteur des assassinats est suivie minute par minute.

L'objectif est d'hystériser suffisamment la population pour la plonger dans un état de suggestibilité. Au-delà d'un certain seuil, d'un certain niveau de stress, l'individu devient hypersucceptible et peut accepter l'inacceptable.

Dans ce cas l'objectif est atteint par :

- La gravité des actes commis, dont des tirs à bout sur des enfants

- La variété des cibles laissant penser à chacun qu'il est menacé

- La répétition des assassinats introduisant en France le concept relativement nouveau et d'autant plus traumatisant de tuerie en série
 
- La multiplication de témoignages directs (voisine de l' « assassin », riverain de l'école juive, témoins de la tuerie de Montauban) stimulant la « résonance limbique », c'est-à-dire une transmission inconsciente d'un puissant état de stress du témoin aux auditeurs/spectateurs.

- La série d'attentats durant plus d'une semaine exposant les Français à une période de stress longue et continue

- Et bien sûr l'hypermédiatisation, qui comme en 2001 avec la retransmission en boucle de l'attaque du WTC soumet la population à la répétition hypnotique d'un événement hyper traumatisant.




Dans ses expériences de conditionnement menées sur des chiens, Ivan Pavlov a mis en lumière le phénomène d'« inhibition transmarginale » où, au-delà d'un certain niveau de stimuli (peur, souffrance, fatigue,...) le sujet entre dans un profond état de passivité, une paralysie mentale et physique totale quel que soit le stimuli auquel l'animal est soumis (froid, chaud, chocs électriques,...)


Plus récemment, dans son ouvrage essentiel La stratégie du choc , Naomi Klein a montré comment la terrorisation d'une population humaine (via les tortures, la propagande, un climat de peur...) la rend malléable et prête à accepter les mesures qui lui sont les plus défavorables.

À ce titre, on ne peut ignorer que le dénouement de cette interpellation se fait attendre. Le domicile du suspect a été encerclé dès 3 h du matin ce mercredi 21 mars. 18 heures plus tard, le « dialogue » se poursuit. Pourquoi un tel délai ? Les autorités ont peut-être des difficultés à expliquer de manière crédible pourquoi un terroriste défendant la cause palestinienne s'en est pris à des soldats musulmans qui n'avaient pas effectué une seule mission en Afghanistan alors que nombre de soldats chrétiens basés à Toulouse ou à Castelsarrasin en sont revenus les mains couvertes de sang ?

Une autre raison pourrait être la volonté de prolonger la période de stress et d'inquiétude vécue par des millions de Français rivés à leur téléviseur ou à leur poste de radio et attendant fébrilement une conclusion à cette série d'événements particulièrement angoissants.

Au final, comme Tatcher avec la guerre des Malouines ou Hitler avec l'incendie du Reichtag, le leader qui revêt, à tort ou à raison, le rôle de sauveur face à la menace écrasante est plébiscité par le peuple hystérisé recherchant à tout prix un protecteur contre la menace parfois créée de toute pièce par ce dernier. Face à un grand péril, le peuple s'en remet à la protection offerte par l'ordre établi, même s'il était honni la veille. Ce processus n'est pas sans rappeler les tactiques du pompier pyromane, officiant dans le cas présent au niveau politique et à l'échelle des nations.

Sort de l' « assassin »

Il semble fort probable que sous peu, l' « assassin » aura été éliminé : « suicide » par balle ou par explosif qui permettrait de dédouaner les autorités qui auraient tenté jusqu'au bout d'entretenir le dialogue, ou élimination du « terroriste » par les membres du RAID (évidemment en légitime défense) si un suicide ne pouvait être provoqué ou simulé.

Ce scénario servirait un double objectif. A l'instar de Lee Harvey Oswald, il permettrait de faire taire le « coupable » et ainsi lui faire endosser parfaitement le rôle, les agissements et les motivations qui étayent la thèse officielle, et d'autre part, de stimuler un lien inconscient entre les autorités et ceux qui ont cru voire soutenu leurs thèses. À la manière de ces meurtres commis dans de petites communautés où tout le monde connait l'identité des coupables, mais se tait et se retrouve lié par un secret inavoué et honteux. Voilà peut-être la véritable union sacrée que Sarkozy a à l'esprit.

Perspectives

A court terme la réélection de Sarkozy semble inéluctable.


Peut-être ne sera-t-il même pas nécessaire d'avoir recours aux 4 % des votes « comptabilisés » par des machine à voter électroniques (mises en place par Sarkozy juste avant son élection....) et dont la faillibilité n'est plus à prouver.

Avant même cette réélection, on peut prédire de vastes « coups de filet dans les milieux islamistes » et l'entretien d'un climat d'angoisse et de stigmatisation des minorités arabo-musulmanes par les médias de masse.

Pour ce second mandat et comme aux États-Unis après les événements du 11 septembre 2001, la France devrait connaître une montée du totalitarisme : stigmatisation des minorités en général et des populations arabo-musulmanes en particulier, fichage des citoyens, réductions des libertés civiles, développement des caméras de surveillance, durcissement des condamnations, généralisation de la répression...

La mise en place du plan Vigipirate écarlate en Midi-Pyrénées nous donne un avant-goût de ce qui attend la France, puisqu'il s'agit concrètement du dernier niveau avant l'application des mesures d'exception prévues par la Constitution de 1958 (article 16, état d'urgence).

(Source : http://fr.sott.net/articles/show/7386-Assassinats-de-Toulouse-et-Montauban-a-qui-profite-le-crime-)